Rosalie Cullen
Serdaigle
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Date d'inscription : 21/02/2007
 | Sujet: Chute vertigineuse (libre)  Mer 28 Fév - 16:41 | |
| Rosalie venait d'entrer à Pouldard. D'ordinaire elle ne se plaisait nulle part, mais l'école lui avait fait bonne impression d'emblée. Elle avait aimé les vieux couloirs et les tableaux dont les occupants étaient ronchons. Les armures aussi qui grinçaient à chaque passage, et même les fantômes ! Par contre ce qu'elle ne supportait pas du tout, c'était le climat. Elle venait de Floride, de Miami. Et l'angleterre était vraiment pluvieuse. Le soleil lui manquait, bien qu'elle n'avait pas le profil type des filles d'où elle venait. En effet, Rose avait de longs cheveux blonds qui lui descendaient en cascade dans le dos, légèrement ondulés, la peau aussi blanche que de la porcelaine, et les yeux bleux. Si elle disait aux autre d'où elle était issue, ils ne la croiraient certainement pas. Mais pour ça, il aurait fallu avoir des amis, et c'était bien la seule chose que n'avait pas Rose. Elle avait toujours vécu renfermer sur elle-même. Mais en arrivant à Poudlard, elle avait décidé, qu'elle changerait. Malheureusement, c'était plutôt dur, elle les rencontres qu'elle faisait, étaient éprouvantes. Elle était mal à l'aise, et ne savait pas quoi dire. Elle avait peut être tout simplement peur de s'attacher, car elle n'aimait pas souffrir, et la race humaine fait toujours souffrir ses semblables un jour ou l'autre. Elle soupira... Et ouvrit les yeux. Elle était dans sa salle commune. Dehors, il pleuvait. Elle posa son regard sur le feu qui illuminait la pièce. C'était la seule lumière, mais Rose était toute seule. Elle se leva et s'étira. Puis en étouffant un baillement, elle se dirigea vers la sortie. Puis, elle fit demi-tour, et alla se changer dans spn dortoir. Elle avait mis un maillot de bain 2 pièces, et un pareo. En effet, on lui avait conté les miracles d'une salle. Et elle voulait l'essayer. En plus, le soleil commençait à lui manquer horriblement. Elle sortit donc, et frissonna un peu. la température à l'intérieur du château, était glaciale. C'est donc au pas de course, qu'elle se dirigea vers l'endroit qu'on lui avait indiqué. Au passage, elle note les regards curieux des élèves et des tableaux sur sa tenue. sa joue tressailla. Ils devaient la prendre pour une folle. Ce n'était pas vraiment le moment, songea t-elle. Elle voulait se faire des amis, et ce n'était pas vraiment le critère qu'on recherchait le plus chez une personne... Enfin, elle arriva. Elle ferma les yeux, et passa trois fois devant la porte en pensent à ce qu'elle désirait. Une plage de sable fin, avec une mère turquoise, et un grand soleil. Elle ouvrit les yeux. Une porte s'était dessinée. Elle sourit. Apparemment ça avait fonctionné. Elle tourna la clanche, et se retrouva dans l'endroit exact où elle passait habituellement ses vacances. cela la rassura. Elle se sentait chez elle, et peut être qu'au fond, c'est ce qu'elle avait demandé. Elle enleva ses tongues, et son pareo, et se laissa tomber sur la sable chaud. Elle ferma les yeux, et ne vit pas la personne qui venait d'entrer. | |
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